La tension artérielle aurait une incidence sur le sexe du nourrisson

Les femmes accordent toujours une attention précise à de nombreux critères afin de connaître le sexe de leur enfant avant d’effectuer le suivi obstétrique. Une nouvelle étude nous apprend que la tension artérielle aurait une importance capitale.

Il existe de nombreuses astuces de grand-mère pour connaître le sexe de l’enfant

De nombreuses personnes sont contraintes de posséder un holter tensionnel pour lutter contre l’hypertension. Un suivi minutieux est essentiel afin de réagir au plus vite dans le cas d’un problème majeur. Les professionnels de la santé recommandent une véritable précision dans la mesure, cela est d’ailleurs envisageable grâce à des appareils performants. Si vous attendez un heureux évènement, les données obtenues pourraient avoir une autre utilité, elles seraient efficaces pour connaître le sexe de votre enfant. Depuis de nombreuses décennies, les futures mamans étudient sous toutes les coutures leur ventre ainsi que leurs habitudes alimentaires. Les astuces de grand-mère sont donc multiples sur la toile afin de découvrir avant l’heure si c’est une fille ou un garçon.

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Les chercheurs estiment qu’il est possible de prédire le sexe du bébé avec cette donnée

Au Canada, des chercheurs ont réalisé une étude dont les résultats ont été publiés dans la revue The American journal of Hypertension à la mi-Janvier. Ils ont même partagé une donnée très surprenante, car, près de 6 mois avant la conception, il serait tout à fait possible de prédire le sexe de l’enfant. Cela peut apparaître comme improbable et, pourtant, les auteurs semblent convaincus puisqu’ils se basent sur la tension artérielle de la femme. Si cette dernière a tendance à être forte, il y aurait de grandes chances pour que l’enfant soit un petit garçon. Dans le cas contraire, une fillette serait au rendez-vous quelques mois plus tard.

Une pression artérielle systolique plus forte serait le signe de la venue au monde d’un garçon

Ils tentent de partager quelques précisions supplémentaires afin de nous renseigner sur cette étude relativement surprenante. Une pression artérielle faible serait moins propice au développement d’un fœtus mâle. Pour obtenir ces informations, les chercheurs ont épluché le quotidien et la santé de 1411 femmes qui ont donc été à l’origine de la naissance de 672 filles et de 739 garçons. Grâce à la prise en compte de plusieurs critères, dont la pression artérielle, ils ont réussi à effectuer cette constatation. Celles qui ont donné naissance à un garçonnet avaient une pression artérielle systolique de 106 mm Hg contre 103 mm Hg pour les fillettes.

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